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Pesticides dans l’alimentation 2 enquêtes de Générations Futures sur la présence de pesticides perturbateurs endocriniens dans les fraises

abeille

Abeilles en danger

La production de miel a chuté de 10% entre 2006 et 2007. Dans certains départements comme le Jura, on enregistre jusqu’à 50% de perte de ruchers. Les causes sont multiples et se cumulent pour affaiblir les abeilles ouvrières chargées de rapporter la nourriture ce qui provoque l’épuisement de l’essaim et de la reine. Le Gaucho et le Régent TS, les deux pesticides interdits depuis 2004, ne sont pas les seuls responsables. Cependant, ils ont affaibli les ruchers qui ont ainsi été plus sensibles à des maladies comme la loque acide qui s’attaque aux larves. Les abeilles affaiblies sont aussi menacées par des acariens comme le Varroa destructor ou le frelon asiatique, la Vespa velutina et peinent à se défendre.
Les monocultures comme le colza ou le tournesol fournissent de grandes quantité de pollen mais sur une période très courte contrairement aux jachères qui offrent une source diversifiée et permettent de passer la saison difficile. La biodiversité est menacée par la diminution du nombre d’abeilles. En effet, grâce à sa toison qui accroche le pollen et à sa fidélité à une seule espèce de fleurs lors d’un voyage de butinage, l’abeille est indispensable pour assurer la pollinisation de certains végétaux comme les pommiers, les fraisiers, les amandiers, les choux, le thym… Rien ne pourra remplacer le travail effectué par les abeilles qui assurent à elles seules 80% de la pollinisation des espèces végétales. La disparition des abeilles est alarmante.
Un nouveau pesticide appelé Cruiser fait monter d’un cran la colère des apiculteurs. La firme Syngenta qui le distribue, assure pourtant qu’il est sans danger.
Méfiez-vous du faux miel premier prix vendu dans les grandes surfaces. Voir le reportage vidéo : les miels de nos supermarchés
Actualité janvier 2016 : d’ici quelques jours, le Sénat va examiner le projet de loi qui contenait, l’amendement StopNeonics interdisant les pesticides néonicotinoïdes tueurs d’abeilles. Sans une pression massive et immédiate des citoyens sur les sénateurs français, cette mesure salutaire pour les abeilles et l’environnement passera à la trappe.
L’enjeu est capital. Il faut signer de toute urgence votre pétition à destination des sénateurs de votre région, en utilisant le système de pétition en ligne préparé par Pollinis :cliquez ici.
Rappel des faits : En mars dernier, l’Assemblée nationale adoptait un amendement au projet de loi « Biodiversité » , interdisant purement et simplement les pesticides néonicotinoïdes sur le sol français au 1er janvier 2016. Pour tous les citoyens et associations qui militent depuis des années pour l’interdiction de ces pesticides mortels pour les abeilles, l’initiative courageuse des deux députés qui avaient déposé l’amendement était une vraie lueur d’espoir !
Seulement voilà : à peine arrivé au Sénat, l’amendement a été immédiatement enterré par une poignée de sénateurs en commission Développement durable. Depuis lors, près de 180 000 citoyens ont envoyé des messages-pétitions aux sénateurs de leurs régions, plusieurs sénateurs sont prêts à réintroduire cet amendement en faveur des abeilles et d’une agriculture respectueuse de la nature et des pollinisateurs dont elle dépend. Mais pour convaincre les autres, il est important de mobiliser le plus grand nombre.

Eau

J’économise l’eau fiches pratiques pour économiser l’eau
Pêche Acheter du poisson « durable » pour éviter la surexploitation et l’extinction d’espèces Les poissons qu’on peut manger et ceux qu’il faut éviter

Source du Lison

SOS Loue et rivières comtoises  : association pour que vive la Loue (rivière de Franche Comté, résurgence du Doubs)
Protection des eaux et du sous-sol association créée en 76 par des spéléologues révoltés par la pollution.

 

Région

Maison régionale de l’environnement de Franche Comté, 7 rue Voirin Besançon
La qualité de l’air en Franche Comté ATMO
Vivre aux Chaprais, le site Web d’un quartier de Besançon pour défendre le cadre de vie
Conservatoire botanique de Franche Comté

Nature

Les Amis de la nature
La Hulotte, le journal le plus lu dans les terriers. Amusant et documenté.
Commerce équitable Max Haavelar et Artisans du Monde

Les sentiers et les 4 X 4 La loi « Lalonde » du 3 Janvier 1991 est claire : pas de pénétration des véhicules motorisés dans les espaces naturels, en dehors des voies ouvertes à la circulation publique. Il fallait s’y attendre, les tentatives du lobby des « loisirs motorisés » pour infléchir la loi ont été nombreuses. Les pratiques hors la loi ont été tellement fréquentes qu’elles ont engendré une jurisprudence abondante qui, avec la circulaire « Olin » de 2005, est venue confirmer la loi « Lalonde ». La dernière remise en cause nous vient de M. Francis Saint Léger, député de Lozère. Cette proposition de loi, profite d’un vide juridique en droit français : la notion d’ouverture d’une voie à la circulation publique est laissée à l’appréciation des juges de fond. M. Saint Léger propose : « en territoire de montagne, toute voie praticable par des véhicules homologués pour une circulation routière et adaptée à ses caractéristiques est considérée comme carrossable et ouverte à la circulation. »En d’autres termes, équipez vous d’un 4X4 efficace et vous pourrez aller batifoler sur n’importe quelle piste de montagne, sauf si les gestionnaires du site ont pu prendre à temps toutes les précautions réglementaires.